Saadi Younis BAHRI est un artiste d’une grande polyvalence : à la fois acteur, réalisateur et écrivain, cet artiste irakien a joué dans plusieurs films dans le monde arabe et en Europe. On compte à son actif plus de soixante-dix pièces théâtrales et contes, dont « Le journal d’un fou » de Gogol, la grande fresque sumérienne, « L’Épopée de Gilgamesh ». Son immense répertoire l’a projeté sur la scène de plusieurs festivals : Avignon (France), Piatra Neamtz (Roumanie), Carthage (Tunisie), Jarash (Jordanie) et, bien sûr, dans la capitale de son pays d’origine, Baghdad.
Il vient de publier aux Editions du Cygne, « L’Enfant de l’île sauvage » adaptée du non moins connu conte philosophique « Hayy ben Yaqzân » de Ibn Tufayl. Mais il est aussi l’auteur de « Babylone, mon éternel amour » et « L’épopée des esclaves de Gilgamesh », œuvres parues toutes deux chez L’Harmattan (Paris, France).
Du côté du cinéma et de la télévision, on lui doit deux fictions « Une civilisation éternelle » et « Le jardinier des rêves ».
Djalila Dechache, poétesse née en France mais dont les parents sont d’origine algérienne, vient de publier « Terre arable », toujours aux Editions du Cygne. L’auteur est une poétesse francophone d’origine algérienne. Auteur d’une première publication, « La maison du Sérail : souvenirs polyphoniques d'une Algérie des années 1950 », elle s’est vue décerner le Grand prix de poésie Louis Montalte en 2007. La préface est de Jeanne Van de Portal, elle-même auteur.
« Terre arable » marque des émotions vécues que l’auteur extirpe du quotidien : car, dit-elle lors d’une interview accordée à l’Association Awal Productions lors du Festival Culture Maghreb (http://blog.unisvers-demain.com/index.php?pages/UnisVers-Demain), « je suis tombée sur des choses comme « je bois un thé, et je suis bien », « une cerise rouge sur le carreau blanc » … vous voyez ? Et bien moi ça ne me parle pas. J'ai besoin de concret. J'ai besoin d'écrire des choses concrètes, réelles. J’ai écrit un poème par exemple qui s’appelle « Elle dit merci » qui raconte l’histoire d’une femme de ménage qui vient tout les soirs depuis longtemps là où je travaille … Elle dit toujours merci ! Sans raison. Parce qu’elle se sent inférieure. »
Du côté du cinéma et de la télévision, on lui doit deux fictions « Une civilisation éternelle » et « Le jardinier des rêves ».
Djalila Dechache, poétesse née en France mais dont les parents sont d’origine algérienne, vient de publier « Terre arable », toujours aux Editions du Cygne. L’auteur est une poétesse francophone d’origine algérienne. Auteur d’une première publication, « La maison du Sérail : souvenirs polyphoniques d'une Algérie des années 1950 », elle s’est vue décerner le Grand prix de poésie Louis Montalte en 2007. La préface est de Jeanne Van de Portal, elle-même auteur.
« Terre arable » marque des émotions vécues que l’auteur extirpe du quotidien : car, dit-elle lors d’une interview accordée à l’Association Awal Productions lors du Festival Culture Maghreb (http://blog.unisvers-demain.com/index.php?pages/UnisVers-Demain), « je suis tombée sur des choses comme « je bois un thé, et je suis bien », « une cerise rouge sur le carreau blanc » … vous voyez ? Et bien moi ça ne me parle pas. J'ai besoin de concret. J'ai besoin d'écrire des choses concrètes, réelles. J’ai écrit un poème par exemple qui s’appelle « Elle dit merci » qui raconte l’histoire d’une femme de ménage qui vient tout les soirs depuis longtemps là où je travaille … Elle dit toujours merci ! Sans raison. Parce qu’elle se sent inférieure. »
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