samedi 25 septembre 2021

Pariscosmop : "le mélange des cultures à Paris"

 

 Il n'est presque pas nécessaire de prendre l'avion pour rencontrer le monde, il suffit d'une simple pression sur votre souris ! Le site Pariscosmop vous l'offre en un clin d'oeil ludique, pratique, faisant sauter les frontières, ouvrant votre fenêtre depuis Paris et le tour du monde est fait !


Pour vous, nous avons tourné la roue du monde - une originale manière d'approche de Pariscosmop: le Proche-Orient arabe et le Maghreb ouvrent leurs portes :  le Festival de l'imaginaire ; l'exposition Lumières du Liban à l'Institut du Monde arabe ; le film 9 jours à Raqqa de Leïla Mustapha ; l'Institut Yunus Emre du nom du poète turc (13e siècle) ; le Louvre avec ses départements des antiquité égyptiennes et antiquités orientales ; la musique arabo-andalouse ; l'Afrique du Nord et le Proche-Orient au Musée Branly.

Pariscosmop se présente en tant que média indépendant dont "la ligne éditoriale défend des valeurs telles que le vivre ensemble, la diversité, le métissage des cultures, la non-disrimination et l'authenticité."  (Wilson Osorio, fondateur).

Adresse du site : https://pariscosmop.fr/

jeudi 2 septembre 2021

Le Festival Strasbourg-Méditerranée est de retour !


Il nous manquait mais il sera là au rendez-vous, comme tous les deux ans ! Le Festival Strasbourg-Méditerranée nous revient avec une 12e édition qui se tiendra du 20 novembre au 4 décembre 2021, avec plus de 60 manifestations artistiques et culturelles autour de la Méditerranée.

Pour en savoir plus à propos de son déroulement, rendez-vous sur le site du festival : http://strasmed.com/festival/







Association Strasbourg-Méditerranée
1a, place des Orphelins
67000 Strasbourg
Tél. : +33 (0)3 88 75 51 17

dimanche 23 mai 2021

"L'homme qui a vendu sa peau" au-delà de l'encre, que reste-t-il ?

L'Homme qui a vendu sa peau
. Des sentiments contradictoires soulevés quant à ce film de Kaouther Ben Hania,
réalisatrice mais également actrice tunisienne. Des univers qui se balancent au visage la superficialité et la tragédie. Une sorte de pantomime qui sera consacrée par des prix cinématographiques et cette réalité dure, sanglante, désaxée que connaissent les pays où il ne fait pas bon d'y vivre.
Un homme ne vend pas seulement sa peau, cet épiderme visible, un peuple dans son entier ne retrouve pas son identité, noyé dans la cruauté de ces autres vendeurs, ces marchands de liberté se frottant les mains, comme pour se vanter de leur supériorité.
Ni d'un côté, ni de l'autre, le partage n'est équitable. Et l'amour, fragile sauvegarde contre la débâcle : il ne s'agit pas d'un seul homme, il ne s'agit pas d'une seule femme, une "échappée" du monde syrien  déboussolé comme on le sait aujourd'hui. Tous deux sont dans le refuge temporaire du mariage imposé, d'un côté, et le corps tatoué, de l'autre : un rempart trompeur, un naufrage de la grande douleur dans la superficialité - non pas de la réalisation mais de l'histoire - encensée par la critique.

"Le film est un pacte faustien entre un privilégié et un damné" a dit Kaouther Ben Hania. C'est à chacun d'y voir sa propre image.

Sortie en France, le 16 juin 2021.

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