Rita Bassil EL Ramy - Avec l'aimable prêt de la poétesse. Reproduction interdite. |
Auteure de deux recueils personnels publiés chez Dar An-Nahar (1) et poétesse participante d’un ouvrage collectif " Pourquoi j’écris " sous la direction de Patricia Elias, elle-même
poétesse et responsable éditoriale des éditions de La Revue Phénicienne, Rita Bassil El Ramy est une journaliste
prolifique (2) pour qui les mots passion et engagement sont deux vecteurs
essentiels de son cheminement professionnel et personnel. Bien qu’elle vive de
façon permanente à Paris, c’est à Beyrouth que sa poésie s’émeut et se meut,
s’ouvrant ainsi au monde qu’elle décloisonne :
" Elle n’est pas cadenassée.
La grille.
Elle est entrouverte.
Que la main pousse et
les herbes hautes résistent. "
En mars dernier, elle a partagé le printemps des poètes arabes avec le
poète-essayiste libanais Abdo Wazen et la poétesse tunisienne Lamia Makaddam
lors du [Deklam5], le printemps des poètes de l’université de Rennes 2.
(1) Beyrouth ou le masque d'or et L'eau se brise en éclats.
(2) Outre un numéro
collectif D’encre et d’exil des 6e rencontres internationales des
écritures de l’exil - " Le Liban, entre rêve et cauchemar ", on note :
Traces, récit que l’on peut retrouver sur le blog Cacophonie
d’Antoine Wauters (http://antoinewauters.eklablog.com/traces-de-rita-bassil-el-ramy-a3636578)
" Issa Makhlouf ou le rêve d’un retour au pays maternel..." (Regard sur la littérature / Iguana Roja http://universus.free.fr/ir2/pdf/issamakhlouf.pdf)
" Alain Rey, la sémantique du luxe au cœur des
civilisations " (Ici et ailleurs in L’Orient-Le Jour http://www.lorientlejour.com/news/print.php?id=730382)
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