Aujourd'hui, l'on est anesthésié, tétanisé face à ce qui se déroule dans la zone géographique du Maghreb et du Proche-Orient, événements qui ont leurs conséquences ailleurs. L'on est en droit de se poser cette question : la culture est-elle chose futile, superficielle, voire inutile lorsque des milliers de personnes luttent pour leur survie ou pour leur paix ?

Aujourd'hui, la culture n'a plus de voix, elle n'est même plus un passe-temps, elle devient obsolète car les philanthropes pensent à préserver leurs deniers devant l'urgence, celle de protéger ceux-ci contre la dégradation des conditions économiques générée par la crise commencée, il y a quelques années.
Ne demeure que le rêve. Pour ne pas dire la chimère.
Alors, rêvons.
F. C.-A.
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