«The stars are so far
And how heavy the time step is !»
And how heavy the time step is !»
(Saat, saat/ Sometimes, sometimes, by Sabah)
Le jour est tombé, la nuit a fait taire l’une des étoiles du triangle d’or méditerranéen. Sabah est partie. Loin s’en faut. Non pas que l’on veuille échapper à la mort, voire l'oublier, mais il y a toujours un pincement au cœur pour qui vous accompagna dans votre jeunesse, marquant votre époque de ces choses définitivement émotionnelles.
La mort, c’est peut-être cruel, c’est l’inadmissible mais elle est là. Dans sa nudité vraie, réelle, irréversible, irrémédiable. Le signal d’une fin de vie et peut-être pour qui a la foi, celui du début d’une autre destinée : le firmament céleste.
La mort, c’est peut-être cruel, c’est l’inadmissible mais elle est là. Dans sa nudité vraie, réelle, irréversible, irrémédiable. Le signal d’une fin de vie et peut-être pour qui a la foi, celui du début d’une autre destinée : le firmament céleste.
Sabah, al Shahroura, «les étoiles sont si loin» et combien élevée est la marche du temps et celle de l'Eden ! Un autre adieu tout de suite après ceux d’Abdelwahab Meddeb et de Manitas de Plata. À qui le tour le firmament de l’Au-delà ?
F. C.-A.
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